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Consultation citoyenne : Droits des malades et fin de vie - Assemblée nationale - 0 views

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    "Exposé des motifs Nos concitoyens souhaitent dans leur immense majorité être entendus, c'est-à-dire disposer de leur vie jusqu'à son ultime moment tout en bénéficiant d'une mort apaisée. Par ailleurs, de fortes inégalités entre établissements de santé, au sein même de ceux-ci, entre structures médicalisées ou non, adjointes à la méconnaissance des dispositions légales, créent encore trop souvent, aujourd'hui, les conditions d'une mort peu digne d'une société avancée. Nourrie par des débats éthiques, des expériences et des convictions philosophiques ou religieuses personnelles, relancée par des événements très médiatisés, la question de la fin de vie occupe une large place dans notre société. Nous devons y répondre avec sagesse et clarté. Depuis plusieurs années, de nombreux pas ont été franchis : reconnaissance de droits accrus aux malades dans le sillage de la loi du 4 mars 2002, développement des soins palliatifs, condamnation de l'obstination déraisonnable, mise en place par la loi d'une procédure collégiale d'arrêt des traitements, même lorsque la souffrance du patient en fin de vie ne peut être évaluée, ont modifié très sensiblement les données médicales de la fin de vie de nos concitoyens. La loi du 22 avril 2005, dite Loi Leonetti, a continué de produire de l'autonomie pour les malades par la condamnation de l'obstination déraisonnable, la mise en place par la loi d'une procédure collégiale d'arrêt des traitements même lorsque la souffrance du patient en fin de vie ne peut être évaluée et la création de directives anticipées. Pendant la campagne pour l'élection présidentielle de 2012, François Hollande a souhaité aller plus loin en proposant que « toute personne majeure en phase avancée ou terminale d'une maladie incurable, provoquant une souffrance physique ou psychique insupportable, et qui ne peut être apaisée, puisse demander, dans des conditions prÃ
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Élargir la PMA ? "Cela pourrait rouvrir des plaies", dit Monseigneur Pontier - 0 views

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    "L'archevêque de Marseille demande à Emmanuel Macron de ne pas "court-circuiter le temps du débat". Elizabeth Martichoux L'invité de RTL Elizabeth Martichoux Télécharger L'invité de RTL du 15 août 2017 Crédit Image : BERTRAND GUAY / AFP | Crédit Média : Jérôme Florin | Durée : 10:15 | Date : 15/08/2017 La page de l'émission Jérôme Florin Jérôme Florin Journaliste RTL Partager l'article publié le 15/08/2017 à 08:48 C'est un sujet qui revient régulièrement sur le devant de la table. Alors qu'Emmanuel Macron a promis d'élargir la procréation médicale assistée (PMA) aux couples de femmes et aux femmes célibataires, Monseigneur Pontier, l'archevêque de Marseille, pense que cela pourrait "rouvrir des plaies" et entraîner de nombreuses manifestations comme ce fut le cas lors des manifestations contre le mariage pour tous. "Il y a en jeu, non seulement le désir de chacun, mais le respect de l'enfant qui est le plus fragile. En cela, nous pensons qu'il n'est pas juste de faire de l'enfant un droit", a-t-il déclaré au micro de RTL. L'archevêque de Marseille, qui est également président de la Conférence des évêques de France, appelle de ce fait à la prudence. "Il faut aller très très prudemment et ne pas court-circuiter le temps du débat", annonce-t-il assurant que "le droit à l'enfant est quelque chose d'inacceptable". La rédaction vous recommande Oise : une fête pour célébrer "la vertu" des jeunes filles fait débat 7 prêtres refoulés d'un pub : "Désolé, pas d'enterrement de vie de garçon" Le père Bertrand Chevallier, prêtre à Saumur Saint-Étienne-du-Rouvray : "L'annonce a été tellement brutale", témoigne la sœur du père Hamel Religions PMA Société Vous aimerez aussi Découvrez les offres suréquipées de la Kia cee'd, garantie 7 ans ! Kia cee'd Suréquipée Ce thérapeute défie l'industrie des régimes Ventre plat Super rapport qualite/prix pour cette chaise haute ultra fonctionnelle et t
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Assemblée nationale - Délégation aux droits des femmes - Rapport d'informatio... - 0 views

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    SYNTHÈSE DES PROPOSITIONS Recommandation n° 1 : mettre en place une exonération généralisée d'avance de frais pour les femmes souhaitant recourir à une IVG. Recommandation n° 2 : clarifier la réglementation afin de garantir le droit à l'anonymat et à la confidentialité de l'IVG pour toutes les femmes en établissant des procédures spécifiques, que ce soit en établissement de santé ou en ville. Recommandation n° 3 : aménager un cadre réglementaire clair, précisant le rôle et les prérogatives du directeur d'établissement scolaire lorsqu'une élève mineure souhaite avorter sans en informer ses parents. Cette disposition devrait faire l'objet d'une circulaire du ministère de l'Éducation nationale et de la jeunesse adressée à l'ensemble des chefs d'établissement de l'enseignement secondaire (collèges et lycées). Elle pourrait utilement figurer dans le Guide du chef d'établissement édicté en février 2009 par le ministère, dans la fiche 34 relative à la surveillance, au sein du paragraphe consacré à la gestion des absences. Recommandation n° 4 : aménager un cadre réglementaire permettant aux infirmiers scolaires d'endosser le rôle de majeur accompagnant une mineure souhaitant avoir recours à une IVG dans le cadre de leur service et sans engager leur responsabilité personnelle. Recommandation n° 5 : imposer à l'ensemble des hôpitaux publics d'assurer une prise en charge des IVG et de ne pas refuser les patientes dont la grossesse se situe en fin de délai légal, celles-ci constituant une urgence absolue, afin d'assurer une offre de soins équitable sur l'ensemble du territoire. Recommandation n° 6 : pérenniser l'allongement du délai de recours à l'IVG médicamenteuse en ville de cinq à sept semaines de grossesse, conformément à ce qui est déjà autorisé pour l'IVG médicamenteuse réalisée en milieu hospitalier. Recommandation n° 7 : lutter contre la désinformation sur internet en p
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Haute autorité de santé - Comment mieux accompagner les patients en fin de vi... - 0 views

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    La HAS publie aujourd'hui un guide à destination des professionnels de santé afin de les aider à mettre en œuvre une sédation profonde et continue maintenue jusqu'au décès, pratique sédative prévue par la loi Claeys-Leonetti, que les patients peuvent demander dans des circonstances précises. Ce travail complète une série de travaux de la HAS sur l'accompagnement de la fin de vie : rédaction des directives anticipées, mise en place d'une démarche palliative ou encore maintien à domicile des patients qui nécessitent des soins palliatifs. L'ensemble de ces travaux vise à entendre la demande des patients de finir leur vie chez eux, sans souffrir ainsi qu'à outiller les professionnels de santé, à l'hôpital comme en ville, pour appréhender cette situation. Les situations de fin de vie concernent notamment les personnes qui ont une maladie grave, évolutive, en phase avancée, potentiellement mortelle ou lorsque le pronostic vital est engagé à court ou moyen terme, après un accident par exemple. L'accompagnement de la fin de vie est un sujet dont il faut discuter, avec son médecin et ses proches, afin de faciliter sa propre prise en charge le moment venu. En effet, en France, trois personnes sur quatre désirent finir leur vie chez eux et 11 % des Français de plus de 50 ans ont désormais rédigé leurs directives anticipées. Ce dernier chiffre reste faible et les Français demeurent mal informés ou peu à l'aise pour envisager concrètement leur fin de vie. Par ailleurs, seule la moitié des malades qui relèvent de soins palliatifs en bénéficie effectivement, qu'ils soient à l'hôpital mais surtout dans leur lieu de vie. Plusieurs facteurs l'expliquent : inégalité des ressources sur le territoire, manque de formation des professionnels en soins palliatifs, méconnaissance de la loi et des dispositifs existants. Pour améliorer la situation, le ministère chargé de la Santé a lancé en 2016 un plan soins pall
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Ceri Sciences Po - Donner un prix à la vie au temps du Covid-19 - 0 views

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    "Peut-être, sur le plan éthique, n'y-a-t-il pas de différence entre sauver 10 000 personnes et en sauver une seule (le nombre, ici, ne doit pas être un critère de choix) ? Peut-être qu'en sauvant une personne, on sauve le monde. Peut-être, d'un point de vue métaphysique, la valeur d'une vie est-elle infinie ? Ou bien encore, simplement, c'est une question de principe, la vie n'a pas de prix. Il n'en demeure pas moins que, d'un point de vue politique, penser et dire que les nombres ne comptent pas constitue une erreur. C'est particulièrement le cas dans le contexte d'une épidémie et d'une pandémie, où, précisément, le politique est sommé de « rendre des comptes ». Les nombres constituent en effet une partie de la mesure de la responsabilité des gouvernements lorsque leurs citoyens sont mis en danger par une grave menace qui pèse sur leurs vies. A l'heure où le nombre de personnes atteintes par le Covid-19 et celui des décès causés par le virus grimpent, le décompte des morts est une question politique d'une importance centrale. Mais la politique des nombres ne concerne pas uniquement le décompte des vies humaines. Dans un contexte de pandémie, les gouvernements considèrent une autre mesure chiffrée, celle fournie par les indicateurs économiques. Pour l'Etat, et donc pour le politique, ces nombres ont leur importance car ils sont des mesures de l'intérêt général. Quel est l'impact économique d'une politique de quarantaine ? En France, l'Insee a estimé qu'un mois de confinement entraînera une réduction de 3% du PIB ; pour d'autres pays, le coût  serait encore plus élevé. De fait, de jour en jour, les perspectives économiques sont de plus en plus alarmistes. Négliger cet aspect de la pandémie et fuir les questions qu'elle soulève seraient une erreur. Que l'on ne s'y trompe pas, il ne s'agit pas d'une simple question d'économie ou d'un vulgaire calcul de boutiquier ava
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Haute Autorité de Santé - Les directives anticipées concernant les situations... - 0 views

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    "Rédiger ses directives anticipées et désigner une personne de confiance sont des droits pour tous les citoyens mais ces démarches peuvent être difficiles, en particulier la réflexion et la rédaction de ses directives anticipées. La HAS met à disposition des personnes et des professionnels des outils pour faciliter cette démarche : un modèle de formulaire de directives anticipées qui permet la libre expression des personnes, malades ou non, sur leurs souhaits et volontés concernant les décisions médicales à prendre pour le cas où elles seraient un jour hors d'état de les exprimer. Il s'accompagne d'un document expliquant pourquoi et comment y réfléchir et les rédiger : objectifs et intérêts des directives anticipées, explications sur qui peut les rédiger, quand, comment et sur leur contenu, conseils pour les rédiger et les conserver, et informations sur leur utilisation par le corps médical. Ce modèle de formulaire peut être téléchargé, saisi et enregistré un document destiné aux professionnels de santé et du secteur médico-social et social pour les aider à accompagner les personnes qui souhaitent y réfléchir ou les rédiger : intérêts des directives anticipées pour la personne et pour le professionnel, propositions sur le quand et comment aborder le sujet, réflexions sur le sens et le contenu du dialogue. un document sur la personne de confiance décrivant son rôle, les critères pour la choisir et les modalités de sa désignation, accompagné du formulaire de désignation ; une note méthodologique et de synthèse documentaire qui décrit la méthode utilisée pour construire ces documents et recense les travaux sur le sujet en France et à l'étranger. Ces documents aideront à la mise en œuvre de la loi votée en février 2016 qui complète la loi Leonetti en apportant de nouveaux droits en faveur des malades et des personnes en fin de vie."
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IFOP - Alliance Vita - Les Français et la technique du CRISPR-Cas 9 - 0 views

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    La technique de génie génétique CRISPR-Cas9 est aujourd'hui très faiblement connue dans l'opinion, ce qui peut expliquer qu'il n'y ait eu à ce jour quasiment pas de débat public autour du recours à cette technique. Seuls 9% des Français déclarent ainsi en avoir déjà entendu parler (dont 3% affirmant voir de quoi il s'agit). Même parmi les diplômés du supérieur (12%) et les professions libérales et cadres supérieurs, catégories traditionnellement les mieux informées, le niveau de connaissance est très faible. Une fois expliquée et présentée aux interviewés, cette technique génétique suscite des jugements très polarisés et contrastés. 76% des Français seraient ainsi favorables à l'utilisation du CRISPR-Cas9 sur des adultes ou des enfants souffrant d'une maladie d'origine génétique dans le cadre d'une thérapie génique pour soigner ou améliorer leur qualité de vie. Mais à l'inverse, exactement la même proportion (76%) seraient opposés (dont 40% très opposés) au recours à cette technique pour modifier génétiquement in vitro des embryons humains. La contradiction n'est qu'apparente et ces chiffres illustrent que si cette technologie peut susciter des espoirs et être perçue positivement dans le cadre d'une thérapie auprès des personnes souffrant de maladies graves, un interdit très clair demeure pour autant ancré dans la société concernant les manipulations génétiques sur les embryons, pratique pouvant ouvrir la porte à l'eugénisme. Cette opposition de principe atteint son paroxysme auprès des catholiques pratiquants (80% d'opposés) mais elle est également très présente parmi les athées (71%) et les personnes d'une confession autre que le catholicisme (73%). Si ce refus éthique est donc très largement partagé et s'appuie donc sur différentes convictions religieuses et philosophiques, on constate néanmoins que les jeunes générations seraient un peu moins réfractaires : 70% d'opposés parmi les moins de
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Nonfiction - Des humanités au posthumanisme : de quoi l'homme est-il le nom ? - 0 views

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    "Les mots « humanité » et « humanisme » sont depuis longtemps entrés dans le langage commun : celui de l'école, de la politique et même parfois de l'entreprise. L'un comme l'autre désignent de toute évidence des attitudes qui placent au centre de leurs préoccupations l'« homme », celui-là même dont on défend, dont on célèbre ou dont on conteste les Droits ces jours-ci. Aussi proches qu'elles puissent être, toutes ces notions font pourtant résonner des nuances irréductiblement singulières. Les « humanismes » et les « humanités » se présentent sans doute avec les couleurs pâles et jaunies des images anciennes, revivifiées sous les traits d'un « post-humanisme » ou d'« humanités numériques ». L'« humanité » au singulier tonne avec la puissance des grands mots. L'« homme » évoque peut-être davantage la nudité d'une condition précaire débarrassée de ses atours. Reste que les nuances d'une notion à l'autre demeurent le plus souvent obscures, confuses. A l'heure où elles semblent revenir au-devant de la scène - scène technologique du transhumanisme, scène éducative des humanités numériques, scène éthique et politique de l'humanitaire ou des débats sur les droits de l'homme - le philosophe Jean-Yves Goffi fait le point sur le sens des mots et ce qu'ils recouvrent. Il revient d'abord sur l'héritage et le devenir des « Humanités » à l'ère du numérique, puis sur les mutations du (ou des) humanisme(s) jusqu'à nos jours, et enfin sur le rapport complexe de l'homme à l'animal auquel il a consacré une étude incontournable."
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Sénat - Commission des Aff. Européennes - Rapport d'information sur la straté... - 0 views

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    L'intelligence artificielle (IA) est aujourd'hui au coeur de toutes les attentions. Il n'est pas un jour sans que ne paraisse un article ou une étude sur ses bienfaits et ses méfaits supposés. Fruit de nombreuses activités de recherche, elle progresse chaque jour. Elle est aussi au coeur de la compétition économique mondiale. Les chercheurs spécialistes en intelligence artificielle, bien que de plus en plus nombreux, sont devenus une denrée rare et prisée. Les grandes entreprises, issues de secteurs historiques ou de la nouvelle économie, investissent de plus en plus dans ce domaine. Il y a une raison à cela : l'intelligence artificielle est considérée comme la principale innovation d'une nouvelle révolution industrielle, celle du travail de l'homme avec des machines dites intelligentes. Or, l'histoire nous a appris que les révolutions industrielles ont, chacune, bouleversé non seulement l'activité économique et le monde du travail mais aussi les sociétés et leurs équilibres. Les deux grandes puissances mondiales, les États-Unis et la Chine, se sont lancées dans une compétition pour la domination technologique mondiale et y investissent des sommes colossales. En réponse, l'Union européenne a agi tout au long de l'année 2018 afin de se maintenir dans la course. En France, le rapport de M. Cédric Villani, député, puis l'adoption du plan « AI for humanity » ont placé notre pays en pointe de l'action en Europe. L'objectif est ambitieux : faire de l'Union européenne un leader mondial de l'intelligence artificielle. La commission des affaires européennes du Sénat a créé dès le 19 octobre 2017 un groupe de travail pour assurer le suivi de ce sujet essentiel. Ce rapport présente le fruit de ses réflexions, pose les enjeux que le développement de l'intelligence artificielle implique et analyse les propositions de la Commission européenne en ce domaine. Il préfigure également une proposition de résolution visant à favoriser
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CNFVSP - Euthanasie et suicide assisté : Actualisation du Panorama des législ... - 0 views

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    "Dans quelles conditions se sont discutées les lois sur l'euthanasie et le suicide assisté à l'étranger ? Que recouvrent précisément ces lois ? Quels sont les patients qui peuvent demander un recours à l'aide active à mourir, et dans quelles conditions les professionnels de santé peuvent-ils y répondre ? Quels sont les mécanismes de contrôle instaurés pour s'assurer de la conformité de la pratique dans chaque pays ? Quelles sont les dernières décisions de justice prises sur ces sujets dans le monde ? Afin de répondre à ces interrogations, le Centre national des soins palliatifs et de la fin de vie a mis à jour son Panorama des législations sur l'aide active à mourir dans le monde, au 31 janvier 2022.  Pour chacune des lois et des décisions de justice, un historique des débats et les fondements juridiques et principiels sur lesquels elles reposent sont développés, leur contenu est détaillé et, plus particulièrement en ce qui concerne les législations, les questions qui émergent à la suite de leur entrée en vigueur sont mises en lumière. Des encadrés reprennent les points principaux à la suite de chaque pays. A l'aune d'une convention citoyenne sur la fin de vie à venir, annoncée par le président de la République, ce dossier actualisé vise à ce que chacun, novice ou expérimenté sur ces sujets, puisse s'approprier le contexte et le contenu des lois existantes dans le monde, afin de nourrir le débat de données objectives et concrètes."
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Ifop - Le regard des Français sur la fin de vie - 0 views

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    "Quelques jours avant la publication, le 23 octobre 2014 d'un rapport rendant compte du débat public sur la fin de vie par le Comité consultatif national d'éthique pour les sciences de la vie et de la santé (CCNE), l'Ifop a interrogé les Français pour l'Association pour le Droit de Mourir dans la Dignité sur les questions posées par la fin de vie. Les personnes interrogées se montrent ainsi favorables à une extension des possibilités permises par la loi Leonetti. 96% des Français jugent que la loi française devrait autoriser les médecins à mettre fin, sans souffrance, à la vie des personnes souffrant de maladies insupportables et incurables demandant une euthanasie. La proportion de personnes souhaitant « absolument » autoriser ce droit s'élève à 54%, en hausse de 10 points par rapport à la vague précédente. Dans le détail, les sympathisants des différentes formations politiques, de gauche comme de droite, se montrent à une large majorité favorables. Les Français ne portent pas de jugement négatif sur les cas des personnes qui partent en Suisse pour bénéficier d'un suicide assisté. S'agissant de ce phénomène, 94% des interviewés déclarent le comprendre car ces personnes ont le droit de choisir la façon de finir leur propre vie, tandis que 92% considèrent que cela montre que la loi Leonetti sur la fin de vie fonctionne de manière insatisfaisante. Dans la perspective de l'élection présidentielle de 2017, une prise de position en défaveur de la légalisation de l'euthanasie d'un candidat en lice pourrait être sanctionnée par une proportion non négligeable de personnes. 40% des Français déclarent en effet être prêts à renoncer à voter en faveur d'un candidat proche de leur sensibilité politique, mais opposé à la légalisation de l'euthanasie. "
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La loi "Fin de vie" clive les partis | Alliance Vita - 0 views

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    "Dans le débat sur la fin de vie qui a commencé à l'Assemblée nationale le 10 mars 2015, les députés PS ont publiquement exprimé des positions opposées : les uns ont signé un amendement pour introduire l'euthanasie et le suicide assisté en France, les autres ont signé une tribune pour soutenir la proposition de loi Claeys-Leonetti. Les 121 députés du premier groupe ont co-signé, début mars, un amendement de Jean-Louis Touraine qui légaliserait une « assistance médicalisée active à mourir ». Le texte, beaucoup plus court que les autres propositions de loi déposées sur ce sujet ces dernières années, prévoit une procédure ultra simple et rapide : demande du patient confirmée au bout de 2 jours, avis de 3 médecins, réalisation de l'acte dans un délai maximal de 4 jours, aucune procédure sérieuse de contrôle sinon une mention dans le dossier médical."
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Euthanasie : le pire est à venir - 0 views

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    "Le Sénat Belge vient de voter par deux tiers des voix l'euthanasie des enfants gravement malades. On croit frémir. Le programme d'élimination élaboré par Hitler a commencé de cette manière. En 1939 une femme du nom de Kressler écrivit au dictateur en demandant une aide. Himmler arriva quelques jours plus tard dans son foyer où se trouvait un enfant aveugle atrophié d'un bras et d'une jambe. Il était accompagné du Dr Brandt, médecin du Führer. Ce bienfaiteur est convaincant. Il propose aux parents d'emmener le petit. Deux jours plus tard, le Dr Catel arrive avec des SS et le prennent « pour l'endormir » pour l'éternité. Les parents consentent. Ainsi a commencé l'élimination systématique des handicapés, des aliénés mentaux, des débiles. Ceci étant un acte « d'amour et de miséricorde », est-il expliqué, « pour l'honneur du Grand Reich ». Supprimons l'expression de Grand Reich et remplaçons par celle de « la société mondialiste de consommation »… Avec les lois d'euthanasie votée par la Belgique, nous y sommes. Chaque année les euthanasies dans ce pays augmentent de 25 %. La Belgique, « ce brave petit peuple » comme on l'appelait après-guerre est entré dans le jeu du tyran soixante ans plus tard."
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Une neuvaine pour la guérison de Vincent Lambert - Vivre en chrétien - Foi ch... - 0 views

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    "Alors que la neuvaine pour la France se termine le 15 août, Mgr Marc Aillet propose de doubler les derniers jours de cette initiative par une neuvaine pour la guérison de Vincent Lambert. « Lorsque tout a été entrepris de ce qui est de notre ressort, seule une intervention divine peut sauver une situation désespérée », affirme l'évêque de Bayonne dans un message publié le 23 juillet. Cette neuvaine de guérison se déroulera du 6 au 14 août avec l'aide de la prière du Père Louis-Édouard Cestac, récemment béatifié à Bayonne : « Auguste Reine des Cieux et souveraine Maîtresse des anges ». Ces deux dates sont très significatives pour Mgr Aillet. Le 6 août, jour de la Transfiguration, « Jésus nous est présenté par le Père comme le seul Sauveur, anticipant même devant ses apôtres la victoire de sa résurrection sur sa passion et sa mort sur la Croix ». Le 14 août, le martyr de saint Maximilien Kolbe ne sera pas sans jeter une certaine lumière sur la situation de Vincent Lambert. Condamné à mourir de faim et de soif dans un bunker souterrain du camp de concentration d'Auschwitz, ce fervent serviteur de l'Immaculée-Conception fut « lâchement assassiné au moyen d'une injection létale » le 14 août 1941. « Pourquoi ne pourrions-nous pas obtenir de la Vierge Marie, dans le triomphe de son assomption, des grâces particulières pour Vincent et toute sa famille ? Sursum Corda : ne manquons pas d'audace ! », conclut l'évêque de Bayonne."
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Haute Autorité de santé - Argumentaire scientifique - Antalgie des douleurs r... - 0 views

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    Tous les médecins sont confrontés à l'accompagnement de patients en fin de vie, dont certains demandent à pouvoir rester chez eux. Dans le contexte de mise en œuvre de la loi Clayes-Leonetti du 2 février 2016 créant un droit à la sédation profonde et continue, maintenue jusqu'au décès, la HAS s'est mobilisée au travers de différents travaux pour aider les professionnels de santé à prendre en charge ces patients dans les conditions les plus humaines et les moins douloureuses possibles. Elle a publié en 2018 le guide parcours de soins « Comment mettre en œuvre une sédation profonde et continue maintenue jusqu'au décès ? », proposant des outils pour aider à la décision et à la mise en œuvre de cette sédation. Pour le compléter, la HAS publie ce jour une recommandation de bonne pratique explicitant les modalités d'utilisation des médicaments de la sédation, hors autorisation de mise sur le marché (AMM), et le cas échéant à domicile, pour accompagner les patients en fin de vie par une sédation, qu'elle soit proportionnée, profonde, transitoire ou maintenue jusqu'au décès. La HAS demande aux pouvoirs publics, sur la base de cette recommandation, de permettre la dispensation de ces médicaments hors AMM et leur prise en charge par l'Assurance maladie. En parallèle de ses travaux sur les traitements médicamenteux de la sédation, la HAS a décidé d'élaborer des recommandations sur la prise en charge médicamenteuse dans une autre situation, des douleurs rebelles.
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Haute Autorité de santé - Recommandation - Antalgie des douleurs rebelles et ... - 0 views

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    Tous les médecins sont confrontés à l'accompagnement de patients en fin de vie, dont certains demandent à pouvoir rester chez eux. Dans le contexte de mise en œuvre de la loi Clayes-Leonetti du 2 février 2016 créant un droit à la sédation profonde et continue, maintenue jusqu'au décès, la HAS s'est mobilisée au travers de différents travaux pour aider les professionnels de santé à prendre en charge ces patients dans les conditions les plus humaines et les moins douloureuses possibles. Elle a publié en 2018 le guide parcours de soins « Comment mettre en œuvre une sédation profonde et continue maintenue jusqu'au décès ? », proposant des outils pour aider à la décision et à la mise en œuvre de cette sédation. Pour le compléter, la HAS publie ce jour une recommandation de bonne pratique explicitant les modalités d'utilisation des médicaments de la sédation, hors autorisation de mise sur le marché (AMM), et le cas échéant à domicile, pour accompagner les patients en fin de vie par une sédation, qu'elle soit proportionnée, profonde, transitoire ou maintenue jusqu'au décès. La HAS demande aux pouvoirs publics, sur la base de cette recommandation, de permettre la dispensation de ces médicaments hors AMM et leur prise en charge par l'Assurance maladie. En parallèle de ses travaux sur les traitements médicamenteux de la sédation, la HAS a décidé d'élaborer des recommandations sur la prise en charge médicamenteuse dans une autre situation, des douleurs rebelles.
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Qu'est-ce que l'objection de conscience ? - Santé - Politique - société | Fam... - 0 views

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    "Le couperet n'est pas passé loin. Lors du débat sur la loi de santé Touraine, cet hiver, plusieurs députés, poussés par des organisations comme le Planning familial, avaient demandé que l'on supprime la clause de conscience pour l'avortement, jugée « infantilisante ». La ministre, finalement, n'a pas donné suite. Le débat sur l'objection de conscience reste néanmoins plus actuel que jamais… Mais qu'est-ce que l'objection de conscience ? L'expression, remise paradoxalement au goût du jour dans les années 60 par les courants anarchistes appelant à boycotter le service militaire civil, mérite des éclaircissements. La conscience morale est une faculté qui avec l'aide de la raison permet d'identifier le bien à atteindre et le mal à combattre. Faire acte d'objection, c'est refuser une injonction (loi, règlement ou commandement humain) à faire le mal pour rester fidèle à sa conscience. Faire objection n'est donc pas affaire de caprice individuel. Contrairement à ce que les mentalités contemporaines laissent entendre, la conscience morale, si elle résonne à l'intime de l'être, ne peut fluctuer au gré des circonstances et relever de choix purement subjectifs. Elle est présence, au cœur de l'homme, de la loi naturelle lui permettant de discerner le bien à faire et le mal à fuir. De son côté, la loi doit s'appliquer à souligner « ce qui est juste » (id quod est justum est). Or, pour être « juste », elle doit précisément être conforme à cette loi naturelle inscrite en chacun."
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Usbek & Rica - Jacques Testart : « Le transhumanisme n'est qu'un eugénisme re... - 0 views

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    "Il est le « père » d'Amandine, le premier bébé-éprouvette français né en 1982. Jacques Testart, 78 ans, clame aujourd'hui son opposition à la gestation pour autrui (GPA) et à la sélection des embryons. Dans son nouveau livre, Au péril de l'humain, paru le 1er mars au Seuil, et écrit avec la journaliste Agnès Rousseaux, il pourfend également ce qu'il appelle « les promesses suicidaires des transhumanistes ». Le biologiste distingue notamment la médecine, qui cherche à éliminer le pire, du transhumanisme, qui consiste à sélectionner les meilleurs et n'est, selon lui, que le nouveau nom de l'eugénisme. Il nous explique pourquoi et comment résister à ce rouleau compresseur qui semble avoir gagné la bataille financière, mais pas encore forcément la guerre culturelle. Et il nous gratifie de quelques prédictions sur le jour où l'on s'étonnera d'avoir pu « faire des enfants sans laisser les scientifiques trier les meilleurs »."
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Conseil National de l'Ordre des Médecins - Recommandations - "Médecins et pat... - 0 views

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    Le Conseil national de l'Ordre des médecins, sous la coordination du Dr. Jacques Lucas et du Pr. Serge Uzan, publie ce jour un livre blanc consacré aux « Médecins et patients dans le monde des data, des algorithmes et de l'intelligence artificielle » et formule 33 propositions. Ce document explore notamment l'impact actuel et futur des nouvelles technologies pour l'exercice de la médecine, pour la formation initiale et continue des médecins, pour la recherche médicale, et pour la place des patients dans le système de santé. Plus généralement, il appelle à « identifier dès maintenant les risques que la société numérique comporte afin de les combattre tout en soutenant tous les bénéfices qu'elle peut apporter au service de la personne ». Rappelant que « la médecine comportera toujours une part essentielle de relations humaines, quelle que soit la spécialité, et ne pourra jamais s'en remettre aveuglément à des « décisions » prises par des algorithmes dénués de nuances, de compassion et d'empathie », les auteurs du livre blanc estiment néanmoins que les « algorithmes et l'intelligence artificielle seront nos alliés, comme un apport essentiel pour l'aide à la décision et à la stratégie thérapeutique », ainsi qu'à la recherche médicale. Dès lors, le Conseil national de l'Ordre des médecins, pour « accompagner l'ensemble de la profession, dans la diversité de ses exercices », pour « renforcer sa collaboration avec les patients », et pour assurer que les nouvelles technologies soient réellement mises « au service de la personne et de la société », émet 33 recommandations.
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Conseil National de l'Ordre des Médecins - Livre blanc - "Médecins et patiens... - 0 views

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    Le Conseil national de l'Ordre des médecins, sous la coordination du Dr. Jacques Lucas et du Pr. Serge Uzan, publie ce jour un livre blanc consacré aux « Médecins et patients dans le monde des data, des algorithmes et de l'intelligence artificielle » et formule 33 propositions. Ce document explore notamment l'impact actuel et futur des nouvelles technologies pour l'exercice de la médecine, pour la formation initiale et continue des médecins, pour la recherche médicale, et pour la place des patients dans le système de santé. Plus généralement, il appelle à « identifier dès maintenant les risques que la société numérique comporte afin de les combattre tout en soutenant tous les bénéfices qu'elle peut apporter au service de la personne ». Rappelant que « la médecine comportera toujours une part essentielle de relations humaines, quelle que soit la spécialité, et ne pourra jamais s'en remettre aveuglément à des « décisions » prises par des algorithmes dénués de nuances, de compassion et d'empathie », les auteurs du livre blanc estiment néanmoins que les « algorithmes et l'intelligence artificielle seront nos alliés, comme un apport essentiel pour l'aide à la décision et à la stratégie thérapeutique », ainsi qu'à la recherche médicale. Dès lors, le Conseil national de l'Ordre des médecins, pour « accompagner l'ensemble de la profession, dans la diversité de ses exercices », pour « renforcer sa collaboration avec les patients », et pour assurer que les nouvelles technologies soient réellement mises « au service de la personne et de la société », émet 33 recommandations.
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